L'artiste contemporain Philip Haas expose ses sculptures botaniques Four Seasons au Jardin botanique de New York.
Des sculptures de têtes géantes de 15 mètres de haut en fibre de verre inspirées par Les quatre Saisons d'Arcimboldo et qui ont été créés avec de la matière organique natif de chaque saison.
Par exemple, en hiver, la peau est faite d'écorce surdimensionnée et les cheveux sont composés de branches d'arbres noueux et de lierre, tandis que pour l'été, le portrait de l'homme est fait de bouquets de fleurs lumineuses...

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Dans ses créations de recyclage, l'artiste multi-média Jeffrey Allen Price crée des cartes géographiques construits à l'aide d'éponges de cuisine usagées. Une  inspiration qui lui vient de l'artiste Jean Dubuffet qui était la figure emblématique de l'art brut.

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Le Tunnel Wisteria, constitué de différentes variétés de glycines, est l'attraction principale du jardin Kawachi Fuji Garden à Kitakyushu, dans le sud du Japon à 4 heures de Tokyo.

La Wisteria ou glycine est l'une des plus belles plantes grimpantes ornementales avec ses nombreuses espèces et dont la longueur des inflorescences varie de 10 cm à un mètre.

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Installé à Londres depuis quelques années, ce jeune photographe russe Murad Osmann, , a su faire le Buz avec sa sublime série de photos Follow me to qui ont été prisent lors de voyage intime aux quatre coins du monde dont Venise, l'Extrême-Orient, Moscou, Londres, etc...
Et dont il a immortalisé sa très jolie partenaire la tenant par la main et toujours vue de dos comme une guide qui l'entrainerait dans une fougue amoureuse. 

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Dans les symboles d'ascension nous avions vu dernièrement ceux de Jonathan Borofsky voici maintenant une autre installation intrigante Karma de l'artiste coréen Do Ho Suh, vivant à New York, dont l'installation est située dans le jardin Sydney and Walda Besthoff Sculpture Garden à City Park , New Orleans, Louisiane.


Une sculpture figurative ascendante de 7 mètres de haut constituée d'un empilement de 98 personnages en acier inoxydable, qui sont assis les uns sur les autres et se cachent la vue.
Et tel une échelle humaine, à courbure gracieuse, ils ne veulent pas voir cette montée dans l'autre monde.

Do Ho Suh, connu pour ses sculptures complexes qui défient les notions conventionnelles d’échelle, veut ainsi attirer l’attention du spectateur pour le confronter à la pratique de l’espace public. Son intérêt pour l’accumulation est, selon lui, " la façon dont le monde est créé ".

Mes sources... via: journal du design...